Category: plaidoyer

  • Priorité à la politique en matière de drogues pour les nouveaux membres du cabinet

    Priorité à la politique en matière de drogues pour les nouveaux membres du cabinet

    La décriminalisation des drogues bénéficie d’un soutien accru de la population. Plus tôt cette année, un sondage national a révélé que près de 60 % des personnes répondantes, ainsi qu’une majorité dans chaque province, étaient en faveur de la suppression des sanctions pénales applicables à la possession de drogue pour usage personnel. L’année dernière, près de 200 organisations à l’échelle du Canada ont appuyé un appel lancé à des ministres clés du gouvernement fédéral pour que soit immédiatement décriminalisée la possession simple de drogue.

    Au cours de ce nouveau mandat, nous vous demandons de prioriser une politique sur les drogues fondée sur les données probantes et d’inclure la réforme de la politique sur les drogues dans les mandats que vous confierez à votre nouveau cabinet

  • La décriminalisation bien effectuée : Une vision de la réforme de la politique sur les drogues qui est fondée sur les droits de la personne et la santé publique

    La décriminalisation bien effectuée : Une vision de la réforme de la politique sur les drogues qui est fondée sur les droits de la personne et la santé publique

    Decriminalization Done Right Decriminalization Done Right

    SIGN ON LETTER: As organizations and individuals committed to the liberation of people who use drugs, and progressive, rights-based drug policy reforms including decriminalization, we, the undersigned, call on the City of Vancouver to address three major concerns regarding its current application to the federal Health Minister to decriminalize simple drug possession locally. We also call on Health Canada and the federal Health Minister, Patty Hajdu, to refrain from imposing unnecessary and unjustified restrictions on any exemption issued to enable decriminalization in Vancouver or other municipalities or provinces that may follow suit, and we call on the Vancouver Police Department to stand down, vacate the process of decriminalization, and sign off on community-established thresholds [Read more]

    #DecrimDoneRight involves co-development with people who use drugs.

    Contact us to add your organization’s name to the letter

    Signed,

    AIDS Network Kootenay Outeach and Support Society
    Amnesty International Canada
    Association des intervenants en dépendance du Québec (AIDQ)
    AVI Health and Community Services
    BC Association of Aboriginal Friendship Centres
    BC Civil Liberties Association
    Brockville’s Overdose Outreach Team
    Canadian Association of People Who Use Drugs (CAPUD)
    Canadian Drug Policy Coalition
    Canadian Students for Sensible Drug Policy (National)
    Canadian Students for Sensible Drug Policy Vancouver
    Canadian Psychedelic Association
    Centre on Drug Policy Evaluation
    Community-Based Research Centre
    Each+Every
    East Kootenay Network of People who Use Drugs
    Harm Reduction Nurses Association
    HIV Legal Network
    Moms Stop the Harm
    Pivot Legal Society
    South Riverdale Community Health Centre (Toronto)
    Thunderbird Partnership Foundation

  • Développer un modèle de décriminalisation qui répond aux besoins des personnes qui consomment des drogues

    Développer un modèle de décriminalisation qui répond aux besoins des personnes qui consomment des drogues

    Nous vous écrivons aujourd’hui pour vous exhorter à développer un « modèle de Vancouver » pour la décriminalisation qui soit suffisamment large et qui réponde aux aspirations et aux besoins des personnes qui consomment des drogues. Principalement, une exemption doit s’appliquer à toutes les substances inscrites aux annexes de la LRCDAS, à toutes les quantités de substances dont la possession est destinée à un usage personnel (quelle que soit la quantité possédée) et à tous les cas de transfert de drogues (p. ex., division, partage, vente) en quantités inférieures aux limites spécifiées, et ne doit pas inclure d’autres restrictions ou conditions inutiles (administratives ou autres) qui compromettraient les bienfaits de la décriminalisation.

  • Le projet de loi 22 nuit à la santé publique, à la sécurité et aux droits des jeunes qui consomment des drogues

    Le projet de loi 22 nuit à la santé publique, à la sécurité et aux droits des jeunes qui consomment des drogues

    Bill 22 letter, bill 22 letter

    « C’est avec urgence que nous vous écrivons au sujet du projet de loi 22 – 2020 : la modification de la loi sur la santé mentale, introduite à l’Assemblée législative de la Colombie-Britannique la semaine dernière, et dont la deuxième lecture est prévue pour le 6 juillet 2020. Étant donné que nous sommes des organisations basées en C.-B. qui ont pour mission de promouvoir une politique des drogues fondée sur des preuves et de mettre fin aux méfaits de la prohibition des drogues, l’association Pivot Legal Society et la Coalition canadienne des politiques sur les drogues (CCPD) vous prient de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour arrêter l’adoption du projet de loi 22.

    Le projet de loi 22 nuit à la santé publique, à la sécurité et aux droits des jeunes qui consomment des drogues. Il réduit les progrès réalisés par la Colombie-Britannique dans sa réponse à la crise persistante des opioïdes. En particulier, les risques sanitaires plus élevés liés à la COVID-19 ont aggravé les conséquences de la contamination de l’approvisionnement en drogues. Comme le coroner en chef de la C.-B. l’a déjà signalé, “les modifications législatives [du projet de loi 22] pourraient avoir de graves conséquences imprévues, notamment une augmentation des décès”. Pivot et la CCPD confirment cette mise en garde et présentent des données supplémentaires sur les effets néfastes sur la santé que le projet de loi 22 entraînerait, s’il était adopté… » [Lire la suite]

  • Décriminalisation de la drogue à Vancouver

    Décriminalisation de la drogue à Vancouver

  • LETTRE OUVERTE : Le gouvernement de l’Alberta doit rétablir les fonds pour ARCHES et les services de réduction des méfaits à Lethbridge

    LETTRE OUVERTE : Le gouvernement de l’Alberta doit rétablir les fonds pour ARCHES et les services de réduction des méfaits à Lethbridge

    Inscrivez-vous dans le formulaire ci-dessous pour ajouter votre nom à la lettre ouverte.

  • LETTRE OUVERTE : Les organisations de la société civile appellent à nouveau à la décriminalisation des drogues

    LETTRE OUVERTE : Les organisations de la société civile appellent à nouveau à la décriminalisation des drogues

    Hier, l’Association canadienne des chefs de police (ACCP) a publié un rapport recommandant de cesser la criminalisation de la possession simple de drogues (c’est-à-dire la possession pour usage personnel). L’association « convient que les donnéesempiriques, appuyées par les chefs de file du domaine de la santé, semblent indiquer que la décriminalisation pour la simple possession est un moyen efficace de réduire les effets nuisibles de la toxicomanie sur la santé publique et la sécurité publique ». Le rapport précise que « des arguments convaincants » ont été présentés en faveur d’un « changement transformatif » de l’approche actuelle du Canada en matière de possession de drogues. Nous applaudissons cette reconnaissance importante par les services de police et appelons le gouvernement fédéral à décriminaliser tout de suite.

    La demande de changement est de plus en plus forte. Les experts en santé publique et les organisations de la société civile à travers le pays plaident en faveur de la décriminalisation des drogues depuis longtemps. Maintenant, l’ACCP a publiquement ajouté sa voix à l’appel pour mettre fin à la criminalisation de la simple possession. La direction à prendre est claire : il faut adopter une décriminalisation complète qui élimine toutes les sanctions pénales et autres peines pour le délit de possession.

    Notre système actuel de criminalisation entraîne de nombreux dommages pour la santé publique et les communautés racialisées, en particulier le maintien de l’ordre excessif et la persécution des communautés noires et indigènes. La criminalisation est ancrée dans la stigmatisation et le racisme, et y contribue également. Cette pratique est néfaste et doit cesser.

    Le Canada peut remédier aux méfaits de la politique punitive en matière de drogues de façon simple et immédiate. La ministre fédérale de la Santé, Patty Hajdu, est en mesure de décriminaliser la simple possession de drogue en autorisant une exemption nationale pour cette infraction en vertu de l’article 56 de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances.

    Il est inutile de tarder, et aucune excuse ne peut justifier un délai, surtout en cette période de décès par surdose sans précédent. Nous exigeons un plus grand investissement dans les services de santé, comprenant des options de réduction des méfaits et de traitement respectueux des cultures, ainsi que des efforts pour garantir un approvisionnement en drogues plus sûr que celui offert par les drogues toxiques du marché illégal. Mais ces actions doivent accompagner et non remplacer une décriminalisation immédiate. Il est possible et nécessaire de supprimer toutes les sanctions, qu’elles soient pénales, administratives ou autres, pour la simple possession de drogue aujourd’hui.

  • Drug decriminalization as a necessary response to COVID-19

    Drug decriminalization as a necessary response to COVID-19

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    Sign on to the letter

    “The COVID-19 pandemic has further exposed stark health inequities and the many structural factors that increase people’s vulnerability to the virus. People who use drugs, and particularly those who are homeless or precariously housed, are more likely to have chronic health issues that will increase their risk of experiencing severe complications should they contract COVID-19. To minimize the risk of transmission and other drug-related health risks, public health officials have urged people who use drugs to continue using harm reduction services, including overdose prevention sites and supervised consumption sites.

    Unfortunately, COVID-19 has forced many harm reduction sites across the country to close or reduce the scope of their services, and people who use drugs are navigating new gaps not only in the drug supply chain but also in the resources and supports they rely on, increasing their risk of HIV and hepatitis C (HCV) infection, overdose, and other harms to their health. Moreover, it is well established that continued police enforcement of simple drug possession laws and the attendant fear of arrest pushes people who use drugs to do so in isolation and compromises their ability to take critical safety precautions. This includes by deterring access to harm reduction services, to which people who use drugs cannot legally travel while in possession of the substances they wish to use there.”

  • OPEN LETTER: Urgent action to ensure equitable application of public health protections

    OPEN LETTER: Urgent action to ensure equitable application of public health protections

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    There is growing concern among people who live and work in high-risk and high-density settings in the province that not enough is being done to prevent a deadly outbreak of COVID-19 amongst these populations. Marginalized communities, including people who use drugs, those affected by homelessness, and those who are incarcerated will disproportionately bear the burden of the virus, while receiving the fewest supports to ensure their health and safety.

    BC Yukon Association of Drug War Survivors, along with many other groups from around the province including the Union of BC Indian Chiefs, Pivot Legal Society, Canadian Drug Policy Coalition, Disability Alliance BCBC Government and Service Employees’ Union and health professionals are calling on the Province to use its emergency powers to do the following:

    1. ensure that the level of Provincial attention and resources provided to prisons, homeless shelters, reserves, and high-density and high-risk hubs such as the Downtown Eastside is the same as that being offered to the rest of the population, including in long-term care settings;
    2. recommend that the Minister of Health order the immediate suspension of municipal bylaws that sanction the displacement of people sheltering in public spaces;
    3. recommend that the Minister of Public Safety and Solicitor General direct police forces immediately, and for the duration of both public health emergencies (overdose and COVID-19), to cease the enforcement of simple possession and related offences; and
    4. ensure that prescribers and their colleges are following the new Guidelines for Risk Mitigation in the Context of Dual Public Health Emergencies to saving lives.